Le Divorce, et le J.A.F, cette profession parfois, sexiste, en constante soif de pouvoir….

Bastia,...Un jour au Tribunal de Grande Instance…Chambre de la Famille.

Ministère de la Justice

 

Ce récit a pour but de bien faire comprendre à vous tous « Français lambda », et dans ce cas en particulier, à ceux du sexe masculin, que malgré certaines idées reçues, la parité voulant contraster le « plus d’hommes, moins de femmes » tant voulu par les pouvoirs publics et donc les femmes elles mêmes, le décriant régulièrement, va sans doutes par cet incroyable acharnement aussi bien réel que médiatique de vouloir imposer et surtout forcer ce rééquilibrage à tous les prix, finir par inversé complètement la tendance et non œuvrer à rétablir le juste équilibre entre hommes et femmes. C’est-à-dire, que beaucoup de ces dernières veulent, dans tout ce qui touche disons-le, à un pouvoir quasi indécent, en particulier en matière de justice, affirmer leurs folles ambitions de faire un jour leur entrée au Panthéon de la mémoire collective. A partir du moment où « elle » est « femme », rien ne peut l’arrêter, même pas la fonction et le but essentiels de son métier. Ce qui pourrait nous remémorer une fameuse expression liée aux excès en tout genre « qu’importe la bouteille pourvu qu’on ai l’ivresse » !

 

Le divorce comme tout le monde le sait, est un drame, et je dirai même plus certainement un deuil familial en soit, une double perte immense d'une énorme tranche de vie, pour la personne croyant dans les sentiments de l’amour et les fondements de la vie en famille et dont ce n’est aucunement la volonté, comme dans mon cas, vu que c’est elle qui m’a quitté avec mon enfant. Mais je ne m’attarderai pas sur mon cas, car la raison principale de ces lignes est de dénoncer le danger que représente cette profession laissée dans certaines mains, une profession qui mériterait davantage de tutelle de la part de l'Etat, comme un contrôle de norme ISO (Disons une justice contrôle/qualité plus accrue de ce type de magistrat). Ce métier à première vue complètement inoffensif et qui veut bien se ranger au rayon des conciliateurs des parents de l’enfant sur la définition stricto sensu, et ce uniquement dans l'intérêt sacro saint de celui-ci, mais en toute objectivité vraiment pas dans la réalité, je dirai même au contraire…Car sous le couvert de cet acronyme souvent peut se cacher quelqu’un de narcissique, bourré de complexes, en quête permanente de performances, professionnellement parlant, voulant parfois réagir par des coups de gueule ou des coups d’éclat people afin d'afficher son aura, devenir "le sujet" de l'audience et non le traîter, et c’est là que son véritable rôle part "en sucettes" (tourne à l'échec), passez-moi l'expression. Un personnage qui dans la plupart des cas se gausse de l’ignorance ou des limites intellectuelles que peuvent se prévaloir les principaux intéressés quant à leur propre défense lors des comparutions devant « l'auditeur de justice » comme veut bien le définir le législateur, auditeurs, qui malgré eux sont perturbés par d'étranges "acouphènes" qui souvent n'auraient pas lieu d'être, mais se traduisent parfois en d'inacceptables positions d'arbitraire, contraire à leur véritable rôle de conciliateurs, voir de pacificateurs de situations conjugales.

Juge aux Affaires Familiales (J.A.F)

Comment ne plus penser à cette personne, qui a changé mon destin en 3 coups de cuillère à pots, emportée par une "irréfrénable boulimie" sur mon dossier, passez-moi l’expression, car aujourd’hui en 2011, elle qui ne fait plus partie de ma juridiction, ayant été nommée par décret sous d'autres cieux par le Président de la République, ne mesurera jamais à quel point le mal qu’elle a engendré sur mon quotidien par ses propos effrontés, humiliants et surtout infondés et en finalité des désastreuses conséquences de sa délibération et donc de son jugement consécutif à ma saisine qui en résulte aujourd'hui, une saisine très amplement justifiée dont la substance se référait strictement à mon droit essentiel sur mon enfant, et de sa non représentation, ma détruit mentalement, médicalement et surtout financièrement…

Pour la petite histoire, en l’espace d’une seule année, je résume et synthétise au maximum, cette situation voulue par ses décisions, m’a fait passé d’un CDI chez un employeur avec pas mal d'années d'ancienneté, à demandeur d'emploi avec une ASD mensuelle chez pôle emploi et le RSA sous peu, donc à la pleine précarité…Merci Madame le J.A.F ! Je vous épargne les détails de mon cas et d'autres préjudices, mais voilà, aujourd’hui en France, pays des droits de l’homme et de justice, expliquez-moi, comment quelqu’un d’assermenté et dont le rôle suprême est d’apaiser les conflits et de rétablir, tant soit peu, une situation juste et normale pour tout enfant au sein d’une famille désunie, peut, de part son omnipotence, sa position de décideur incontournable, finir par ruiné en moins d’une heure de débats et condamner à la précarité un homme, ouvrier, au bout de quelques phrases, père de famille et dont la droiture est archi connue dans toute la ville et même au-delà, aussi bien auprès de ses proches que des gens qui le connaissent, voir le côtoient tout simplement.

Plus qu’un jugement inacceptable, en substance des griefs retenus 100 % à ma charge, une sentence, aux saveurs hostiles et revanchardes, je me demande pourquoi d’ailleurs? Puis soudain en pleine audience de la gesticulation, démonstrative à mon égard, ma réplique devient presque impossible à ce moment là, et un haussement de ton sur ses propos viennent rompre la quiétude de la salle d’audience, les regards de l’assistance sont ébahis de stupeur. Oui un haussement de ton en toute hostilité qui nous à tous scotché à la surprise générale, inexplicable, me ramenant incrédule un instant dans mon enfance sur les banc de l’école Charles Andrei de Lupinu, 35 ans auparavant sur des scènes déjà vécues en CP ou CE1, un comportement disons-le inadmissible et surtout inaproprié pour queqlu'un de son rang, qui me mets direct au banc des accusés "par défaut" si j'ose dire, et qui ne m’augure pas dans l’instantanéité, l’incontournable bénéfice de l'impartialité du droit à la présomption d’innocence, si chère à la justice de la République, et pour votre information, soi dit en passant, d’une assistance judiciaire elle-même complétée par la partie adverse strictement féminine, alors que j’étais comme par hasard, le seul du sexe opposé de toutes les personnes présentes, un final invraisemblable en 2010 dans une Chambre de la Famille, qui lui tournait à la parodie "grotesque"…

 

Chi putenza, è chi tristezza, zitelli !

Droits Fondamentaux Et Familiaux De La Mère...Et Du Père !

 

Code Civil En France

 

Apparemment rien ne peut émouvoir un JAF, ooOh pardon! Une Juge aux Affaires Familiales de cette trempe, ni un deuil de famille, ni de sérieux problèmes de santé, en marge de mon souci conjugal, encore moins le reste ou pas du tout comme dans mon cas…Sentence oui mais qui est au regard de ce qui a été statué une « véritable condamnation de ma personne». Ce que j'ai ressenti par de cette façon de me traîter? Comme un incompréhensible besoin et une soif de passer outre le sujet principal qui lui est au moins d'éssayer de règler le différend conjugal évoqué, voilà dans ce cas, un comportement qui rappel des méthodes d’un bon vieux shérif du far west, shérif dont les lascars, comme au temps des mystères de l’ouest, ne devaient leur salut qu’à son humeur du jour et c’est ce qui est ressorti de cette personne à la fin de ma comparution, une Juge Aux Affaires Familiales qui dans sa manière de formuler ses phrases avait peut-être comme objectif un certain besoin de me « mettre » à l’épreuve, mais à l’épreuve de quoi me diriez-vous? Comme dans un interrogatoire policier…Exactement !

 

Souvent le vrai drame de la justice est de créer un amalgame entre les vraies raisons et celles qui n'ont pas lieu d'être, qui font qu'on fait appel à elle et c'est là qu'on constate qu'une nation de notre rang se doit aujourd'hui d'avoir une vigilance sans failles sur ces dérives très souvent qui aboutissent tout simplement à anéantir (voir éxemple) au sens propre comme au figuré des pères de foyers français. Personnellement, certain type de divorces (consentement mutuel, pas de biens immobiliers, pas de crédits ou dettes) devrait échapper à cette institution qu'est le Ministère de la Justice, moderniser et simplifier, réduire les délais, les frais financiers (par éxemple régis par un code financier instauré par l'Etat, une grille tarifaire en fait), et les procédures à une simple feuille et un simple guichet administratif comme la Sécurité Sociale, résolvable en quelques heures, sans passer par tous ces corporatismes, inéfiscients, assimilables à des tours de magie dispensés par des soi disant professionnels que moi je considère rebouteux pour quelques uns comme çà l'a été dans mon cas. et que le commun des mortel souvent sous éstime ce côté obscure qui forcément lui sera hostile et surtout fatal. Car au final, dans tout cela, il y va de la vie des français, la vraie, la physique, peut-être pas pour tous, qui sous le slogan "AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS" se voient bannir de la société civile, en France souvent notre presse tir au canon contre les USA, pour certaines éxecutions de peine de mort, sans vouloir mélanger les genres, ces médias feraient mieux de démontrer davantage d'humilité envers ce pays, mais en revanche, plutôt d'aller jeter un bon coup d'oeil, en bas de chez eux, oui, oui, là au coin...pour voir ce qui se passe dans leurs institutions, là encore, institutions voulant s'afficher en précurseur en matière judiciaire dans le monde mais vous conviendrez, qu'il reste beaucoup beaucoup de chemin à faire, malheureusement pour nous Français...

Etant un Bastiais depuis ma naissance, je conclurais ce récit par ces mots : « Povera Francia », il y a urgence dans ta maison, ta justice fou l’camp !!!!

 

Justice d'Exception à la Française